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 Italie, 1946

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Rebecca Bianchi

Rebecca Bianchi


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MessageSujet: Italie, 1946   Italie, 1946 Icon_minitimeMar 11 Déc - 19:52

Après être restée assise en silence pendant plusieurs minutes dans la voiture de son oncle Benito, une nouvelle Lancia Ardea 1946 qu'il venait tout juste d'acquérir, Rebecca finit par poser sa main sur la poignée, puis poussa la lourde porte de la voiture. Elle tourna doucement son corps sur le coté et resta assise encore quelques secondes sur le siège de l'auto, les yeux fermés, hésitante à sortir. La jeune femme finit par soupirer, puis ouvrit doucement les yeux et sortit tranquillement de l'automobile avant de refermer la porte, puis de faire un ou deux pas en direction de la maison, qui se trouvait à quelques mètres. Elle déposa son regard sur la porte close et la fixa pendant quelques secondes avant de détourner le regard et de le poser sur la terre défraîchie qui, moins de deux ans auparavant, étant constellée de plantes et de légumes. La grande noire avala doucement sa salive en voyant la terre de ses parents, qui était maintenant la sienne, dans cet état. Elle fit quelques pas afin de s'approcher des champs, puis déposa son regard sur la petit rangée de vignes que sa mère avait réussie à faire pousser et à entretenir. S'ils étaient autrefois chargés de grosses grappes de raisins juteux, les arbrisseaux étaient aujourd'hui fanés et à l'agonie. Rebecca sentit son coeur se resserrer fortement dans sa poitrine et détourna le regard pour se retenir de pleurer, ce qui ne fut pas un grand succès. Elle releva doucement la main pour essuyer les larmes qui coulaient sur ses joues avant de se retourner doucement en entendant les pas de son oncle qui s'approchait.

B: Vieni, mia cara.

Le grand homme, un moldu qui avait épousé la tante maternelle de Rebecca, posa doucement sa main sur l'épaule de la noire en la regardant avec un air doux. La jeune femme acquiesça très vaguement de la tête, puis avala difficilement sa salive avant de suivre son oncle qui s'était mis en marche en direction de la maison. À quelques pas de la porte d’entrée, Rebecca s’arrêta de marcher, ses jambes l’empêchant de faire un pas de plus vers la maison. En voyant que la jeune femme ne la suivait plus, Bene se retourna pour lui faire face et posa deux grande main rassurante sur les épaules de sa nièce.

B : Non hai niente da temere. Ogni bene va ad accadere.

Depuis la nuit où elle et sa famille avaient étés attaqués et laissés pour morts dans leur propre maison, près de deux ans plutôt, Rebecca était restée loin de la demeure familiale. Seule survivante de la tragédie, elle avait passée plusieurs mois dans un hôpital sorcier où les docteurs refusaient de la laisser sortir, beaucoup plus à cause de son état psychologique que physique suite à la nouvelle de la mort de ses parents et de la disparition de son frère, que les autorités croyaient mort également. Lorsqu’elle eu enfin obtenu son congé de l’hôpital, la jeune femme s’était rendue sur une base militaire pendant quelques mois afin d’aider des amies infirmières, qu’elle avait toutes rencontrées pendant sa convalescence, à soigner les soldats Alliés jusqu’à plusieurs semaines suivant la fin de la Seconde Guerre Mondiale. N’étant toujours pas prête à retourner chez elle, la jeune femme partit vivre chez son oncle Benito et sa tante Celia, la sœur ainée de sa défunte mère, qui s’occupèrent d’elle comme si elle avait été leur propre fille. Après quelques mois, ils finirent par conseiller à la jeune femme de se rendre à la maison, dont elle était maintenant propriétaire, ayant hérité d’absolument tout, croyant que le tout pourrait aider la jeune femme à faire son deuil. Malgré sa réticence, Rebecca finit par accepter de se rendre à la maison avec son oncle, se disant que lui et sa tante étaient plus sages et qu’ils devaient probablement avoir raison. Mais maintenant qu’elle se trouvait devant la porte close de la maison, la jeune femme regrettait déjà d’avoir suivi leur conseil. Elle releva ses grands yeux tristes vers son oncle et avala doucement sa salive.

- Non sono pronta, Zio.
B : Molto sicura che sei. Una volta all'interiore, sono certo che sentirai meglio si. Andare, vieni.

La jeune femme, dont les cheveux de jais et le teint de porcelaine lui donnaient un air naïf et angélique, hésita quelques secondes avant d’acquiescer doucement de la tête et de soupirer.

- Di accordo.

Benito fit un petit sourire à la jeune femme pour tenter de la réconforter, puis se retourna tranquillement vers la porte d’entrée et s’en approcha. Il déverrouilla le loquet avec la clé magique qu’il avait dans sa poche, puis poussa tranquillement la porte avant de faire quelques pas à l’intérieur, sans hésitation. Rebecca, elle, resta immobile sur le porche pendant encore plusieurs secondes, ses jambes qui refusant de lui répondre. Elle ferma les yeux doucement, essayant de trouver le courage d’avancer, et finit par se mettre tranquillement en marche pour entrer dans la petite maison. Une fois à l’intérieur, la grande noire avala difficilement sa salive, puis regarda un peu autour. Contrairement au dernier souvenir qu’elle avait de la maison, toutes les traces de lutte, ou de sang, avaient disparue. Excepté le fait qu’il semblait manquer quelques objets, que la famille était venue chercher pendant les deux années d’absence de la jeune femme, la maison semblait être dans le même état qu’elle l’avait toujours été avant la fameuse nuit. La jeune femme resta dans l’entrée pendant quelques secondes, à observer le salon et la salle à manger pendant que son oncle s’avançait un peu plus afin de s’approcher du foyer, dans le salon.

B : Fa freddo, vado a fare un fuoco.

Rebecca ne porta aucunement attention à ce que disait son oncle et continua de regarder autour sans rien dire. Après encore plusieurs secondes, la noire s’avança doucement dans le salon, puis entra dans le petit couloir où se trouvait deux portes closes. La jeune femme posa doucement sa main sur l’une des poignées, puis la tourna doucement avant de pousser la porte, puis d’entrée dans sa chambre et celle de son frère. Elle resta pendant quelques secondes dans le cadre de porte, à regarder la chambre, puis finit par s’avancer doucement pour aller s’asseoir sur le bord de son lit en expirant longuement. Elle tourna doucement la tête et déposa son regard sur la poupée de chiffon qui était sur sa table de nuit et tendit lentement le bras pour la prendre avant de s’étendre tranquillement en boule sur le lit. La jeune femme ferma lentement les yeux alors que les larmes commençaient à couler sur ses joues. Elle serra doucement la poupée contre elle alors qu’elle se mettait à sangloter légèrement, se rendant compte encore plus, maintenant qu’elle était dans la maison, à quel point elle se sentant seule et vide. La jeune femme resta sur le lit à pleurer pendant plusieurs minutes jusqu’à finalement s’endormir. Rebecca ne se réveilla que plusieurs heures plus tard, tirée de son sommeil par un grande bruit sourd provenant de la cuisine, et avala doucement sa salive en voyant qu’il faisait déjà nuit. Elle soupira doucement, puis se redressa lentement sur le lit avant de se lever complètement. Elle s’approcha tranquillement de l’interrupteur de la chambre, puis le poussa doucement pour allumer la lumière. La jeune femme fronça doucement les sourcils en voyant que rien ne se produisait, puis soupira doucement, se disant que son oncle n’avait probablement pas eu le temps de remettre l’électricité en marche. Elle sortit doucement sa baguette de la poche de son habit sorcier avant de l’agiter un peu.


- Lumos.

La sorcière se dirigea doucement vers la porte de la chambre et l’ouvrit doucement avant de sortir dans le couloir, qui était lui aussi plongé dans l’obscurité.

- Zio?

La jeune femme continua d’avancer doucement, n’ayant pas de réponse, et serra doucement les doigts de sa main gauche sur sa baguette, commençant à se sentir beaucoup moins calme, soudainement. Elle expira doucement en se répétant intérieurement qu’elle n’avait rien à craindre, puis continua d’avancer, la main légèrement tremblante.

- Zio? C'è stato un grande fruscia. Siete bene??

L’Italienne s’arrêta de marcher et garda le silence un moment, se demandant si le bruit qu’elle avait entendu n’était pas tout simplement le fruit de son imagination. De plus, depuis que la guerre était terminée, la jeune femme entendait parfois des choses, comme des bruits de bombardements ou d’armes à feu. Après plusieurs secondes de silence, la noire soupira doucement, se disant que son oncle devait probablement dormir et qu’elle avait sûrement rêvé le bruit en question. Elle se retourna doucement en tenant doucement sa baguette, pour s’éclairer, puis sursauta soudainement fortement en voyant que quelqu’un se tenait dans le salon, à quelques pas d’elle. La jeune femme serra davantage sa baguette pour ne pas l’échapper avant de sentir son cœur se mettre à battre la chamade en reconnaissant le visage de la personne qui se trouvait non loin d’elle. La noire fut incapable de bouger ou de dire quoi que ce soit pendant plusieurs secondes avant de finalement parler.

- Damian?

Avec hésitation, la jeune femme s’approcha lentement de son frère et tendit doucement la main vers lui avant de la poser sur le bras du jeune homme, voulant vérifier qu’il ne s’agissait pas de son imagination qui lui jouait des tours. En sentant que le bras de Damian était bien solide et qu’elle pouvait bien le toucher, Rebecca posa sa main libre sur sa bouche et se mit à pleurer en se blottissant dans les bras de son frère.

- Mi hanno detto…che eri morto!


-----------------
Viens, ma chérie.
Tu n’as rien à craindre. Tout va bien se passer.
Je ne suis pas prête, mon oncle.
Bien sûre que tu l’es. Une fois à l’intérieure, je suis certain que tu se sentiras mieux. Aller, viens.
D’accord.
Il fait froid, je vais faire un feu.
Mon oncle?
Mon oncle? Il y a eu un grand bruit. Vous allez bien?
Ils m’ont dit…que tu étais mort!
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Dante Bianchi

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MessageSujet: Re: Italie, 1946   Italie, 1946 Icon_minitimeMar 11 Déc - 20:26


Dans l’ombre, Damian regarda sa sœur entrer dans la pièce avec une lueur nouvelle dans les yeux. Il écouta chaque respiration de la jeune femme avec beaucoup d’attention, observa son corps trembler légèrement pendant que son cœur pompait plus de sang qu’à son habitude. Il baissa son regarda sur le corps de la jeune femme qui s’approchait du salon sans le voir, tapi dans l’ombre créée par l’angle de la lune et la grande fenêtre vitrée du living room. Le jeune homme s’approcha d’un très petit pas, puis demeura de marbre quand sa sœur posa finalement son regard sur lui. Le jeune homme avait les yeux très pâles, la peau légèrement tachée malgré ses vêtements très propres et les lèvres d’un rouge vif, pratiquement inhumain. Il regarda Rebecca sans bouger, la laissa lui toucher, puis, après un moment de silence après avoir entendu la voix de sa sœur, le jeune homme posa lentement sa main droit sur le haut du dos de la noire, tandis que sa main gauche se déposait sur le bas de son dos. Damian soupira très doucement en sentant l’odeur enivrante de sa sœur, avala sa salive très doucement, puis releva doucement sa main droite pour la glisser dans les cheveux d’ébène de Rebecca. Il ne pu s’empêcher d’inspirer doucement le parfum de sa sœur jumelle pendant qu’il descendait lentement sa main sur son cou.

- Sono qui…non piangere…

Damian glissa très lentement ses doigts froids sur la veine du cou de sa sœur qui semblait battre encore plus fort maintenant qu’il était près d’elle.

- Questa sono io ...

Il expira très doucement, puis ne put s’empêcher d’approcher très lentement sa bouche du cou de Rebecca, l’odeur qui s’en dégageait était beaucoup trop enivrante pour qu’il reste là sans bouger. Il serra très doucement son bras autour de la taille de la noire, puis remonta lentement sa main dans les cheveux de jais pour lui faire pencher très légèrement la tête sur le côté.

- Ti senti così bene ...



---
*Je suis là…Ne pleures pas…
**C’est moi…
***Tu sens tellement bon…
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MessageSujet: Re: Italie, 1946   Italie, 1946 Icon_minitimeMar 11 Déc - 20:52

Rebecca ne put s'empêcher de pleurer un peu plus fortement en entendant la voix de son frère, comme si le fait de l'entendre parler lui confirmait vraiment qu'il s'agissait de Damian. Elle reniffla doucement en sentant les bras de son frère la serrer contre lui, puis frissonna un peu lorsqu'elle sentit la main froide du jeune homme sur sa peau.

- Non posso credere che sia veramente tu.

La noire avala très difficilement sa saliva, puis pencha doucement la tête sur le coté lorsque son frère la força doucement à le faire, croyant qu'il tentait seulement d'être plus confortable.

- Mi hai mancato talmente.

La jeune femme renifla doucement à nouveau, puis serra davantage ses bras autour du corps de son frère afin de tenter de le réchauffer.

- Sei così freddo.

La sorcière expira doucement, les yeux fermés, avant de froncer un peu les sourcils de tristesse.

- Dove eri? Perché non sei venuto vedermi prima?


------
Je ne peux pas croire que c'est vraiment toi.
Tu m'as tellement manqué.
Tu es si froid.
Où étais-tu? Pourquoi n'es-tu pas venu me voir avant?
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MessageSujet: Re: Italie, 1946   Italie, 1946 Icon_minitimeMar 11 Déc - 21:01

Le jeune vampire expira très doucement, sa bouche à quelques centimètres à peine du cou de sa soeur. Il avala sa salive, puis glissa très lentement de nouveau sa main dans les cheveux de la noire en la sentant se coller un peu plus fortement contre lui.

- Non sono stato in grado di trovare te ... Tu non eri qui ...

Damian hocha très doucement la tête en continuant de jouer très lentement et presque sensuellement dans les cheveux de sa soeur toujours très près de lui.

- Non ti muovere ...

Il glissa lentement sa main sur la peau chaude du cou de sa soeur, puis s'approcha encore plus de son cou, attiré par l'odeur hypnotique du sang qui coulait dans ses artères. Il expira fortement, soudainement prit d'une impulsion incontrôlable, puis il plaqua la jeune femme contre le mur, près de la fenêtre du salon. Il serra son éteinte pour qu'elle ne bouge pas trop, puis ouvrit la bouche avant de mordre le cou de Rebecca fermement en plaquant son corps contre le sien.



----
* Je n'ai pas réussi à te trouver...Tu n'étais pas ici...
** Ne bouge pas...
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MessageSujet: Re: Italie, 1946   Italie, 1946 Icon_minitimeMar 11 Déc - 21:14

Rebecca fronça un peu plus les sourcils en entendant son frère lui dire de ne pas bouger et en sentant à nouveau la main froide du jeune homme dans son cou. Elle ferma rapidement les yeux lorsque son frère la plaqua contre le mur, ce qui l'assomma considérablement, sa tête ayant frapper le mur. La jeune femme émit un faible gémissement de douleur lorsque les dents de Damian lui transpercèrent le cou, le corps ramolli à cause de l'étourdissement. La jeune femme finit par reprendre un peu ses esprits, après quelques secondes, et serra vaguement ses doigts sur les vêtements de son frère alors que les larmes se remettaient à couler sur ses joues.

- Da...Damian...

La noire posa lentement ses mains sur le haut du corps du vampire et tenta de le repousser alors que la panique commençait à monter.

- Ferma...!

La jeune femme gémit de douleur une nouvelle fois, puis remonta une main pour la poser rapidement sur le visage de son frère qu'elle tenta, du peu de force qu'elle avait, de le repousser en pleurant.

- Ferma! Sono io...!


-----
Arrête...!
Arrête! C'est moi...!
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MessageSujet: Re: Italie, 1946   Italie, 1946 Icon_minitimeMar 11 Déc - 21:23

Damian échappa un grognement surnaturel en sentant la main de sa soeur sur son visage. Le vampire ne bougea pas d'un millimètre, puis serra encore plus son corps contre celui de la noire afin de la retenir contre le mur. Il prit sèchement sa main qui tentait de repousser son visage, la plaqua solidement sur le mur, puis il émit un deuxième grognement qui était loin de ressembler à sa voix habituelle. Après quelques secondes, le vampire recula lentement, expira fortement de plaisir tellement le sang de la jeune femme avait un goût près de celui de la perfection.

- E 'così buono...

Le vampire glissa sa langue sur la peau du cou de Rebecca où coulait maintenant beaucoup de sang. Il prit l'autre main de la jeune femme, puis la plaqua également contre le mur pour qu'elle ne tente rien.

- Lasciati fare, Rebecca.

Damian agrippa la jeune femme par la mâchoire pour qu'elle ne bouge pas la tête, la retenant fermement sans vraiment d'effort, puis s'approcha de nouveau pour boire le sang chaud qui coulait dans le creux de l'épaule de sa soeur et sur ses vêtements.


----
*C'est tellement bon
**Laisse-toi faire, Rebecca.
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MessageSujet: Re: Italie, 1946   Italie, 1946 Icon_minitimeMar 11 Déc - 21:44

Rebecca, qui ne pouvait s'empêcher de continuer de pleurer, ferma les yeux fortement et tenta de se tasser un peu sur le coté en sentant la langue de son frère sur son cou. Elle avala très difficilement sa salive et serra les dents, espérant vraiment que le tout était un cauchemar et qu'elle allait bientôt se réveiller.

- Per favore...

La noire tenta à nouveau de repousser son frère en poussant sur le haut de son corps avec sa main libre, évidemment sans succès. La jeune femme continua de se débattre pendant encore quelques secondes avant de finalement se détendre légèrement, voyant bien que le fait de bouger ne faisait rien d'autre que d'augmenter la douleur qu'elle ressentait, étant donné que Dante devait la tenir plus fermement si elle se débattait. La jeune femme expira longuement, les larmes coulant toujours sur ses joues, avant de porter sa main sur le haut de sa poitrine pour serrer ses doigts sur son collier qui était caché sous ses vêtements. Après quelques secondes, la noire fronça un peu les sourcils, se rappelant soudainement de quelque chose qu'elle avait lu sur les vampires, pendant son séjour à l'hôpital. Elle ouvrit lentement les yeux, puis sortit rapidement son collier de sous sa chemise, la main tremblante, avant de tirer sur la chaîne qui se brisa et de plaquer le crucifix sur le cou de Damian. Lorsque celui-ci se recula rapidement sous la douleur, la jeune femme tomba à genoux au sol, puis regarda rapidement autour avant de s'approcher à quatre pattes de sa baguette. Une fois ses doigts serrés sur le manche, la noire pointa rapidement sa baguette magique, la main tremblant comme une feuille, sur son frère.

- Non...avvicinarti.


-----
S'il te plait...
Ne...t'approche pas.
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MessageSujet: Re: Italie, 1946   Italie, 1946 Icon_minitimeMar 11 Déc - 21:55

Damian échappa un cri de douleur mélangé à un grognement surnaturel quand Rebecca plaqua son crucifix contre son cou. Il recula rapidement de plusieurs pas pendant que sa peau fumait légèrement. Il mit rapidement sa main sur sa plaie, puis se yeux devinrent encore plus pâle, d'un bleu qui tirait presque sur le blanc. Le sang qui coulait sur les lèvres lui donnaient maintenant un air beaucoup moins doux et encore plus menaçant.

- Te ne pentirai quello che hai fatto!

Le vampire s'approcha extrêmement rapidement de Rebecca en grognant très fortement, puis il lui agrippa le cou d'une main pour soudainement la lever dans les airs.

- Sta 'zitto!

Damian serra beaucoup plus fortement le cou de Rebecca soudainement en regardant sa soeur directement dans les yeux, le regard intense et mauvais.

- Getta la collana!

Sèchement, Damian serra encore plus son emprise sur le cou de sa soeur, puis il cria fortement d'une voix inhumaine, loin de contrôler ses pulsions et sa colère.

- BUTTALA!



----
*Tu vas regretter ce que tu viens de faire!
**Reste tranquille!
***Jette le collier!
****Jette le![/i]
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MessageSujet: Re: Italie, 1946   Italie, 1946 Icon_minitimeMar 11 Déc - 22:10

Rebecca ouvrit un peu plus les yeux de surprise en voyant Damian s'approcher à une vitesse surhumaine et la prendre par le cou. Elle posa sa main sur le poignet du jeune homme sans lâcher sa baguette alors que son visage devenait un peu plus rouge, commençant à manquer d'air. Elle ferma lentement les yeux, les dents serrées.

- N-no...

La jeune femme plaqua rapidement le collier à nouveau sur la peau de son frère, cette fois sur sa main, afin qu'il desserre son étreinte. Lorsqu'il finit par la lâcher, la jeune femme tomba au sol en toussant, puis ramena sa main sur son cou ensanglanté avant de pointer rapidement sa baguette sur son frère à nouveau.

- Non...avvicinarti. Non avvicinarti.

Une flamme apparut alors au bout de la baguette de la noire qui se leva lentement en s'aidant avec le mur avant de regarder son frère à nouveau.

- Sei forte Damian. Puoi combattere il demonio...


----
Ne...t'approche pas.
Tu es fort Damian. Tu peux combattre le démon...
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MessageSujet: Re: Italie, 1946   Italie, 1946 Icon_minitimeMar 11 Déc - 22:21

Damian échappa de nouveau un cri surnaturel quand Rebecca lui brûla la main avec la croix bénite de son collier, puis il échappa un grognement de colère. Les traits de son visage se crispèrent, mais le vampire s'arrêta rapidement dans son mouvement en voyant la flamme apparaître au bout de la baguette de Rebecca. Après quelques secondes, le vampire se mit à rire en entendant ce que Rebecca disait, puis il hocha la tête lentement en regardant la jeune femme dans les yeux.

- Tu non sai affatto cosa vuoi dire...!

Le vampire se redressa, puis lâcha lentement sa main en faisant quelques pas vers Rebecca.

- Damian è morto, come tutto il resto della famiglia infelice!

Damian continua de s'approcher de Rebecca en la regardant directement dans les yeux sans détourner le regard, l'air froid et sans émotion.


- Mi prenderò cura di te e di me.

Le vampire s'arrêta quand la flamme fut trop près de lui, ne pensant pas que le feu lui ferait ressentir une telle choses. Il expira fortement avant de reculer sèchement d'un pas.

- Mi manchi Rebecca. Unitevi a me.

---
*tu ne sais pas du tout de quoi tu parles.
**Damian est mort, comme tout le reste la misérable famille!
***Je vais m'occuper de toi, moi.
****Tu me manques Rebecca. Rejoins-moi.
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MessageSujet: Re: Italie, 1946   Italie, 1946 Icon_minitimeMer 12 Déc - 1:57

Rebecca sentit son coeur se serrer dans sa poitrine en entendant ce que le vampire disait à propos de son frère et de sa famille, puis resserra un peu ses doigts sur sa baguette en voyant l'effet que la flamme semblait avoir sur le jeune homme, soudainement un peu plus confiante. Elle avala difficilement sa salive, la main tremblante, et regarda le vampire en silence en essayant de rester forte malgré le fait qu'elle était complètement terrifiée, en plus d'être étourdie et d'avoir perdue beaucoup de sang. La jeune femme serra un peu les dents en entendant ce que Damian lui disait, puis hocha vaguement la tête.

- Mai.

La noire bougea légèrement sur doigts sur le manche de sa baguette afin d'améliorer la prise qu'elle avait sur celle-ci, puis avala difficilement sa salive avant de continuer.

- Preferisco essere solo...o morire che essere come tu.

La jeune femme cligna un peu plus rapidement des yeux, sa vue commençant à faiblir légèrement et à s'embrouiller dû au fait qu'elle avait perdu beaucoup de sang, et qu'elle continuait d'en perdre.

- Posso...occuparmi di me stesso. Non ho bisogno di te.


----
Jamais.
Je préfère être seule...ou mourir que d'être comme toi.
Je peux...m'occuper de moi-même. Je n'ai pas besoin de toi.
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MessageSujet: Re: Italie, 1946   Italie, 1946 Icon_minitime

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